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Le Weekend des Musiques à l'image 2017 | Audi France
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Le Weekend des Musiques à l'image 2017

Le Week-end des Musiques à l’image 2017

Les 9 et 10 décembre 2017, Audi talents et La Philharmonie de Paris ont accueilli plus de 5 600 personnes pour le 6ème Week-end des Musiques à l’image. Au programme, deux concerts en images du London Symphony Orchestra, l’un dédié aux compositions de Gabriel Yared, l’autre, aux musiques de films de Steven Spielberg ; une performance électro-symphonique de Romain Benitez, lauréat Audi talents 2016, et de Stéphane Mondoloni ; mais aussi des rencontres avec les réalisateurs, les musiciens du London Symphony Orchestra et les compositeurs.

Infinite, A Space Odyssey, Romain Benitez et Stéphane Mondoloni

Voyage aux confins de l’univers, plongée en apnée vers l’inconnu, Infinite, A Space Odyssey propose au spectateur 30 minutes d’une épopée immersive au coeur de LA grande aventure astronomique, interrogeant ainsi notre relation à l’immensément grand. Jouée live, la musique anime en direct, au gré de ses mouvements, formes, textures et espaces projetés derrière la scène. Entraîné par le rythme, les climax, les silences, le spectateur explore les paysages d’un univers captivant, générés directement par la musique.

Lewis

Orchestration classique et sonorités électronique, cuivres inquiétants, cordes hypnotisantes : la symphonie, écrite par le jeune créateur musical et sonore Romain Benitez, lauréat Audi talents 2016, déploie une énergie en même temps qu’une sensibilité rares. Le souffle puissant, gigantesque, dramatique, d’une odyssée.

Expo 2018

Infinite, a space odyssey a été produit grâce à l’Audi talents award Musique à l’image décerné en 2016 à Romain Benitez par le jury composé de Mathieu Kassovitz, Constance Guisset, Jean-Baptiste de Laubier-Para One, Jose-Manuel Gonçalves, Jérôme Ruskin et Patrice Lamothe.

Composition musicale : Romain Benitez Direction artistique et réalisation : Stéphane Mondoloni pour Oddyssey Studio Conception, développement et direction artistique : Bonjour Lab

Hommage à Steven Spielberg

Aux premières notes esquissées, les images surgissent, replongeant chacun dans le cinéma jubilatoire du grand illusionniste hollywoodien. Complices depuis leur rencontre en 1974 autour de Sugarland Express, John Williams et Steven Spielberg ont collaboré sur onze films, chaque fois d’immenses succès. L’hommage aux musiques des films de Steven Spielberg qui a été donné à La Philharmonie de Paris à l’occasion du 6ème Week-End des Musiques à l’image a naturellement fait une large place aux compositions de John Williams.

On y retrouvait les B.O. de Jurassic Park, des Dents de la mer, d’Indiana Jones, d’E.T., des Aventures de Tintin, ou du Bon gros géant. Mais pas seulement.

Dirigé par Frank Strobel, le London Symphony Orchestra – orchestre symphonique attitré de John Williams -, a également joué les musiques de Thomas Newman (Le Pont des espions), de Jerry Goldsmith (Poltergeist), de Michael Giacchino (Super 8), d’Alan Silvestri (Retour vers le futur) et de Don Davis (Jurassic Park III). L’ensemble, en images (images et extraits de films).

Gabriel Yared

Gabriel Yared

Il fut, en 2017, l’un des rares compositeurs membre du jury du Festival de Cannes. Le 9 décembre, l’artiste aux quelque cent B.O., césarisé pour L’Amant, couronné d’un Oscar, d’un Grammy Award et d’un Golden Globe pour Le Patient anglais, donne un concert musique et images inédit dans la grande salle de La Philharmonie de Paris.

Interprété par le London Symphony Orchestra, dirigé par Dirk Brossé et Gabriel Yared, avec Catherine Ringer et Yaël Naïm au chant, Juanjo Mosalini au Bandonéon et Lewis Morison au saxophone, le concert conçu par Gabriel Yared mettait à l’honneur quelques-unes de ses plus belles B.O.

Parmi elles, celles de L’Amant, de Jean-Jacques Annaud, de Retour à Cold Mountain, du Talentueux Mr Ripley et du Patient anglais, d’Anthony Minghella, de 37,2° Le Matin et de La Lune dans le caniveau, de Jean-Jacques Beineix, de Camille Claudel, de Bruno Nuytten, et de Juste la fin du monde, de Xavier Dolan…

Autodidacte, c’est dès l’âge de 7 ans que Gabriel Yared s’initie à la musique, à Beyrouth, où il est né en 1949. Ce, bien avant, d’entrer, en 1969, à l’Ecole normale de musique de Paris, où il suit les cours d’Henri Dutilleux. Orchestrateur producteur dans un premier temps, il collabore avec Sylvie Vartan, Gilbert Becaud, Johnny Hallyday, Michel Jonasz, Charles Aznavour, Françoise Hardy… La musique de films vient plus tard : en 1979, avec sa première B.O. pour Sauve qui peut la vie, de Jean-Luc Godard. En parallèle, il compose pour les ballets de Carolyn Carlson, Roland Petit ou Wayne McGregor. « Rien ne me préparait à devenir compositeur de musiques de films », sourit-il aujourd’hui. Et pourtant… : le musicien, qui s’est donné l’exploration de toutes les musiques comme ligne de vie, affiche aujourd’hui près de 40 ans de carrière dans le cinéma. Le concert qu’il a imaginé pour le Week-end des Musiques à l’image, et qu’il a interprété au piano, a donné une idée de ce supplément d’âme qu’il offre toujours avec la même passion aux histoires qu’on lui confie.

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